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Festival du Livre de Paris : nos meilleurs moments !

En plein milieu des vacances de printemps, certains membres des clubs lecture et journal, très motivés, se sont rendus au Festival du livre de Paris. Ils vous ont concocté une sélection de leurs « meilleurs moments » !

Le groupe devant le Grand Palais Ephémère (photo : C. Levassor)

En route vers le Palais Ephémère, au pied de la Tour Eiffel, les questions ne manquaient pas : quels auteurs allions nous rencontrer, quels livres acheter ou encore quelles dédicaces nous pourrions avoir.

Lors de cette journée, j’ai eu la chance d’assister à une conférence en Italien, où deux autrices présentaient chacune leur livre, dont un très intéressant et que je vous conseille, écrit par Chiara Valerio : Cosi per sempre .  C’est un roman qui nous permet de découvrir d’une tout autre manière l’histoire du conte de Dracula .

Ce fut aussi l’occasion d’échanger avec de nombreux lecteurs dans les longues files d’attente pour rencontrer des auteurs et obtenir des dédicaces.

Clara, 2nde

rencontre avec l'écrivain Tahar Ben Jelloun (photo : C. Levassor)

Le 22 avril dernier, j’ai fait une très belle expérience, que je renouvellerai avec plaisir. En effet, je me suis rendue au festival du livre lors d’une journée très enrichissante du fait des nouveaux livres et des nouveaux auteurs que j’ai pu découvrir. La diversité m’a permis, tout comme à toute autre personne, de trouver mon bonheur littéraire au sein d’une multitude de styles et de genres. De cette manière, j’ai pu me procurer un livre sur des conseils en peinture pour les paysages. J’en suis très satisfaite puisqu’il m’apporte de bonnes connaissances techniques. Par ailleurs, j’ai eu la chance de pouvoir échanger avec l’auteure, une artiste-peintre, qui m’aura donné quelques conseils dès notre petit échange. En plus, un livre dédicacé qui nous plaît est un peu comme « la cerise sur le gâteau ». Je trouve cette possibilité de contact avec les écrivains très positive et même constructive, car nous pouvons en apprendre davantage sur leurs objectifs et les œuvres en question. C’est également le cas lors des conférences. J’ai eu la possibilité d’assister à deux d’entre elles, et je dois dire que ce moment est vraiment très intéressant à vivre. Nous voyons et écoutons les auteurs parler de leurs idées, leurs difficultés et péripéties pour construire le livre, mais avant tout de leur passion. Je pense sincèrement que ce genre d’événement est valorisant et bénéfique. En fin de compte, cette journée m’aura permis de faire des découvertes passionnantes et j’aurai pu apprendre de nouvelles choses. 

Weronika, 2nde

 

Le salon du livre a été une super expérience. Tout était intéressant pourtant les thèmes ne concordaient pas forcément avec mes goûts de lecture. J’ai pu rencontrer des écrivains passionnés. Un auteur m’a même dédicacé son livre, en me demandant de lui faire un retour de  lecture par mail. Après quelques échanges de mail, cet écrivain, Commandant dans l’Armée de Terre m’a proposé de devenir mon parrain, pour m’accompagner et me guider jusqu’à mon entrée dans l’Armée et même après. On peut dire que le Festival du Livre a fait prendre un nouveau tournant à ma vie, et grâce à lui, je peux avancer plus vite dans mes projets, aidée par un parrain « tombé du ciel ».

Le Salon du Livre au Grand Palais éphémère était vraiment génial, d’autant plus que j’étais avec ma meilleure amie !

Guillemette, 2nde

table ronde avec des reporters de guerre (photo : C. Levassor)

A 12h, nous nous sommes rendus à la scène Suffren pour assister à la conférence “Profession reporter de guerre” ; Mémona Hintermann, Jean Paul Mari et Taha Siddiqui, les trois reporters et conférenciers, y ont présenté leurs parcours, leur passion pour ce métier et leurs expériences en tant que reporters de guerre à travers la problématique “Le reporter de guerre est-il un journaliste comme les autres ?”. Cette conférence, animée par Sonia Déchamps, se concentrait notamment sur l’aspect géopolitique mais surtout social du travail de reporter de guerre, à travers des anecdotes marquantes, comme celle de J.P. Mari, racontant de manière poignante la découverte d’un charnier humain dans une école d’un petit village au Rwanda, puis l’écriture de l’article à ce sujet alors que des tirs de kalachnikov résonnaient dans les rues.

Si la conférence s’est conclue sur un monologue de M. Hintermann sur l’importance de l'écriture des atrocités de la guerre, pour “ne pas oublier”, le décès d’Arman Soldin, reporter pour l’AFP en Ukraine, quelques jours après le Salon, lui fait tristement écho.

Valentin, Tle

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S
Les livres nous transportent vers de merveilleuses contrées. Merci pour cette article et bravo pour ton parrain Guillemette :)
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